décembre 2017

Les élèves de 3ème du collège La Providence ont visité ces dernières semaines nos locaux afin de découvrir les filières professionnelles que nous proposons, à savoir Métiers de l’Electricité et des Environnements Connectés (MELEC) et Technicien de Maintenance des Systèmes Energétiques et Climatiques (TMSEC).
Nous remercions les collègues et élèves qui ont effectué les visites dans la bonne humeur, ainsi que les collégiens pour leur bonne tenue et leur intérêt et les professeurs qui les accompagnaient.
Chacun est le bienvenu pour connaître nos formations, que ce soit dans le cadre d’une visite d’établissement scolaire ou individuellement en effectuant un mini-stage de découverte. Il suffit de contacter Romain Delamotte, responsable du LP, au 03 22 33 77 85 ou par mail: rdelamotte@la-providence.net.

Deux cérémonies ont eu lieu pour remettre les diplômes de nos élèves. Nous avons d’abord remis ceux de BEP, du baccalauréat professionnel et de la Mention Complémentaire à nos heureux lauréats qui ont particulièrement brillé lors de leurs examens, comme le montrent par exemple les 95% de réussite au baccalauréat professionnel MELEC ou encore les 100% d’admis au BEP en 1ère TMSEC.
Ensuite, ce sont les 3ème Prépa Pro qui ont reçu leur diplôme en même temps que les 3èmes du collège. 100% de nos élèves ont obtenu leur brevet professionnel!

Nous sommes fiers de leur parcours! Comme le disait un proverbe de 1855, « Réussite engendre succès, succès engendre suite », alors bonne continuation à eux!

La première journée de ce type, l’année de l’élection d’un ancien élève, Emmanuel Macron, devenu président de la République, ne trouble pas plus que ça Benoît Bernard, le nouveau chef d’établissement. Le président de la République a en effet suivi une partie de sa scolarité à la Providence. « J’ai reçu, depuis la rentrée, des journalistes allemands et leurs homologues des journaux belges. On est passé à la deuxième phase de questionnement. Mes visiteurs s’interrogent sur le lien entre la phrase « en même temps » souvent utilisée comme une liaison par le président de la République et la formation jésuite. Je leur réponds en parlant de François Ruffin (NDLR : également élève dans cet établissement) », s’amuse le directeur.

« Je garantis 100 % de débouchés »

Benoît Bernard

« Notre pédagogie vise d’abord à développer le sens critique des élèves », indique-t-il. Originaire d’Abbeville, Benoît Bernard a occupé un poste de chef d’établissement à Évreux. « J’exerçais dans le même type de structure mais suis ensuite passé de 1 000 à 2 000 élèves. » Le challenge constitue une véritable montée en puissance pour celui qui doit manager une centaine de salariés et 150 enseignants. « Le projet d’accueillir tout le monde constitue ma principale motivation. »

Formation continue dans l’énergie, l’habilitation électrique, le génie climatique

En action depuis mars 2017 avant d’être en poste à la rentrée, le chef d’établissement accompagne les nouveautés. « Nous avons ouvert un centre de formation continue depuis novembre dans les domaines de l’énergie, de l’habilitation électrique et du génie climatique. Je lance un appel. Nous avons besoin de jeunes pour les formations. Je garantis 100 % de débouchés », assure-t-il. Le responsable évoque la récente remise de diplômes de BTS en présence des partenaires industriels où les deux seuls titulaires sans emploi sont repartis avec des propositions de poste.

La Providence couvre tous les niveaux d’enseignement depuis la maternelle jusqu’au post-bac. « Le travail de liaison entre les établissements reste dynamique. Nous renforçons l’ouverture à l’international par le biais des langues et soutenons l’ouverture au numérique », souligne le directeur.

À la rentrée prochaine et sur la base du volontariat, chaque élève de la 6e à la 4e sera équipé d’une tablette utilisée au quotidien. En plus du rugby et de la natation, une section avec option football ouvrira en 6e et 5e. Pour répondre aux problèmes récurrents d’orthographe, La Providence va s’inscrire dans le projet national Voltaire, obligatoire pour les élèves.

De notre correspondant

Christian LEGRIS